MISSION IV - touriste et troubles de mémoire (Thalia, Ivory & Alice)

Admin **Heartless**

Mission IV.

Ivory « Dory » Sherman, G. Thalia Cavendish & Alice R. O'Liddell.

Avis de recherche :

un petit frisé et une mémoire... non, deux !

L’entrée était colossale. Elle devait presque faire vingt pieds de haut et la moitié en largeur. Massive le contour était renforcé de pièces plus épaisses contre un mur qui s’élevait presque aussi haut. Son arrête dépassait à peine de la ligne d’horizon, l’arche s’enfonçant dans la terre. Il était difficile de s’imaginer que le chemin qui les avait mené juste devant descendait autant. A l’intérieur filtrait la lumière de l’extérieur. Il y avait des torches accrochés au mur et quelques amphores plates à huile ici et là à des points stratégiques. Or, elles étaient éteintes et plus on s’enfonçait, plus il y faisait sombre.

Un seul couloir s’enfonçait vers deux nouvelles entrées qui menaient à de nouveaux couloirs. Il y avait deux portes, sans battant. Elles étaient massives, hautes de trois mètres. Elles étaient, elles aussi, décorées d’arche sculptée en leur sommet et des dessins et textes peint sur la pierre. Sur celle de gauche était sculpté en relief avec un travail très raffiné le buste de Seth. Tout autour sur les deux pans de l’arche étaient représentés des fresques de son histoire entrecoupés de hiéroglyphes, récit de ses tourments. Ils étaient effacés par le temps, la moitié illisible, ou des traces comme des fantômes, la peinture absorbée par la pierre ou des morceaux de bloc manquait. Sur l’arche de droite, c’était un buste d’Anubis et décrit de la même façon sur le cadre de l’ouverture, tout le rituel de la mort et la balance illustré par des dessins et écrit dans un dialecte particulier et ancien.

A vous de choisir quel chemin prendre. Vous pouvez prendre le temps de vous concerter avant. Une fois que vous aurez pénétré dans un couloir, le Maitre de Jeu interviendra. Rappel, le personnage de Dory ne pourra pas prendre d’initiative car c’est un compte admin.

- Évitez les réponses trop longues. 600 mots maximum par post devraient suffire. Privilégiez l'action aux descriptions sans fin.
- De même, essayez de répondre assez vite. C'est un sujet qui est fait pour avancer, il peut apporter des changements dans les évolutions de vos personnages, n'hésitez pas à le passer en priorité quand c'est votre tour.
- Le premier tour établira l'ordre de passage. Pour la suite, n'oubliez pas de prévenir la personne après vous pour lui dire que c'est son tour.
- Si besoin vous pouvez jouer les dés. Vous les retrouverez dans ce sujet.

Bon jeu ♥ !

**G. Thalia Cavendish**

Que faisais-je là, pourquoi étais-je aussi appliqué à sauvé le neveu de la reine blanche ? Cette reine avait disparu. Je ne lui devais rien et pourtant je courrais derrière la voleuse d’un prince. Après plusieurs minutes où nous nous étions éloignées de la ville je retrouvais le dit héritier, et fus rattrapée par sa mère qui le récupéra aussitôt pendant que mon regard se portait sur la voute dans laquelle la voleuse avait disparu. C’était l’entrée d’un temple, pendant que la rouquine revenait, je sentais ma main se posait sur une des colonnes, rempli d’écriture, qui m’était terriblement familière. Automatiquement, j’appelais consciente que cette peine était veine. Ce qu’Alice me fit également remarqué en parlant de film d’horreur. J’ignorais ce que c’était mais je ne cherchais pas à comprendre.

« Pour deux raisons princesse : un je suis la seule qui peux vous protéger, et deux parce que je l’ai décidé et que cette femme voulait qu’on se retrouve ici par conséquent nous n’avons pas d’autre choix que de découvrir pourquoi. Une fois cela découvert je vous mènerais à Wonderland. A et autant que je vous mette au courant si c’est dans votre royaume que vous voulez aller préparez-vous à le voir bien différent que la dernière fois où vous y êtes allée. »

Sur ses mots j’apercevais Dory me devancer, avançant dans le noir comme si elle y voyait quelque chose, saisissant une torche, je faisais signe à Alice de me suivre priant pour quelle cesse de geindre avant de rattraper la rouquine qui se tenait devant une fourche. Deux bustes se dressaient devant nous, soudainement, je sentais mon esprit s’agitait, je les connaissais. Secouant la tête, je me retournais vers Dory lui tendant ma torche en demandant gentiment pour la première fois depuis que je l’avais rencontré :

« Dory, pourriez-vous me tenir cette torche s’il vous plait ! »

Cette dernière s’exécutant, je me dirigeais vers le buste de droite, du bout des doigts je caressais les angles de la sculpture avant d’un murmure ne s’immisce dans mon esprit. Anubis son nom se dérobait dans un coin de mon esprit avant que je me retourne vers la seconde sculpture réitérant mes gestes pour que le nom de la seconde me parvienne : Seth. Retournant vers les deux jeunes femmes, je fermais les yeux, quand la voix si familière et pourtant inconnu de l’homme qui m’avait rendu mes mains. Automatiquement, je sentais mes doigts se poser sur les cicatrices d’or qui prouvaient leur repousse. Cette voix me demandait de suivre la voie d’Anubis.

« Nous devons suivre la voie d’Anubis,… J’en suis intimement convaincu »

acidbrain

Alice fut étonnée de voir que la petite Dory avait réussi à les suivre jusqu’au bout dans leur course. Il lui avait semblé qu’elle s’était arrêtée à plusieurs reprises, aussi pendant un instant la jeune blonde s’était dit qu’elle se démerderait autrement pour aller au Pays des Merveilles, qu’elle avait une affaire plus urgente à régler. Mais tout rentrait presque dans l’ordre quand elles récupérèrent le petit Apollo-Jules et qu’elles répondaient encore toutes trois à l’appel.

La porte devant elles les appelaient par contre à rejoindre une aventure. Thalia s’avança la première, suivit par Dory. Alice était la seule à préférer rester au dehors. Thalia lui expliqua le pourquoi du comment elles devraient suivre la voleuse d’enfant. Alice ne dit rien, toujours convaincue que ça ne présageait rien de bon. La prochaine fois, elle réfléchira à deux fois avant de laisser Vael s’aventurer dans le Monde des Contes. Et elle réfléchira encore plus avant de décider d’aller l’y chercher par la peau du cul. Mais plutôt que de rester seule à les attendre, Alice s’engouffra elle aussi dans le temple et suivit le long couloir, dans lequel elles s’arrêtèrent bientôt, faisant face à deux portes que la coureuse de lapins trouvait presque similaires. « Oh génial, et c’est le moment où on se sépare, c’est ça ? » Thalia ne dit rien - en tous cas après avoir légué sa torche à l’amnésique qui traînait dans ses pattes - et Alice craignait de la déranger dans ses réflexions. Elle préférait ne pas énerver la femme-guerrière. C’était d’ailleurs l’une des raisons qui l’avait poussée à la suivre jusque ici. Bon, il y avait aussi le fait que ça ne lui disait trop rien de rester toute seule au milieu de nulle part.
La brune parla enfin. Elle leur assura que suivre la voie d’Anubis, ou un truc dans le genre, c’était la chose à faire. Comme Alice n’était pas d’humeur à prendre des risques, et comme l’idée de se séparer pour faire des groupes de un - ou de presque un si on comptait Dory - ne l’enchantait pas tellement, elle préféra suivre Thalia. « Je veux pas paraître pessimiste, mais parfois l’instinct nous joue des tours. Genre quand on m’a parlé de l’instinct maternel… ben crois-moi que c’est pas aussi génial que comme on nous le raconte. » Sur ce, elle se risqua à emprunter la voie d’Anubis. Au moins, si elle se retrouvait dans la merde, elle n’y serait pas toute seule.

Admin **Heartless**

Mission IV.

Ivory « Dory » Sherman, G. Thalia Cavendish & Alice R. O'Liddell.

Avis de recherche :

un petit frisé et une mémoire... non, deux !

Les trois jeunes femmes s’étaient enfoncées dans le tombeau qui creusait la terre. On avait confié la torche à Dory, qui après avoir fait quelques pas, avait regardé les deux autres femmes complètement éberluée. Elle sursauta en voyant la torche dans sa main et essayait de comprendre. Mais que faisait-elle là ? Elle s’approcha de la brune et la blonde, leur tendant la torche flamboyante et dit : « Vous avez du faire tomber ça... Je vois pas pourquoi je serais là avec ça dans les mains sinon... ». Elle partit tout simplement sur ces mots.

Alice et Thalia se retrouvaient seules dans le tombeau, avec Apollon-Jules. La guerrière téméraire, s’était avancée plus loin et tomba sur deux couloirs. L’un portait fièrement Anubis et l’autre était à l’honneur de Seth. Thalia avait porté son dévolu sur la porte d’Anubis, celui qui guidait l’âme à son jugement. Alice n’avait pas trop d’avis là-dessus et suivit tout simplement sa seule comparse dans le sacré merdier où elle s’était fourrée. Avec son fils dans les bras en plus.

Il restait sur les murs quelques vestiges de fresques qui illustraient alors tout le rituel de la mort dans ce peuple, un hommage à leurs dieux. Il y avait aussi des mètres et des mètres de textes dans une écriture bien particulière. Rien d’alarmant. Quelques morceaux de murs fissurés ou de la peinture qui s’éstompait avec le temps. Le seul risque était peut-être de trébucher sur un morceau de mur ou de colonne tomber au sol. Les bruits de l’extérieur ne les atteignaient même plus et la flamme de la torche avait légèrement diminuée. Elles ne cessaient de s’enfoncer dans les profondeurs du tombeau.

C’est alors qu’au bout de ce couloir se trouvait encore deux nouveaux couloirs bien distincts. L’un arborait une belle arche aux formes droites et géométriques, parfaitement finie et une mosaïque d’émeraude et de saphyr la décorait sur toute la crête. L’autre était plus brute dans son matériaux. Comme un immense bloc qu’on avait vulgairement taillé, afin d’y faire une percée. L’arche d’obsidienne était très bien ancrée dans la structure, comme si la pierre semi-précieuse rongeait les briques parfaites et collosalles des murs. Des éclats d’or lui donnait alors toute sa beauté plus sauvage. Avec la lumière des flammes, elle scintillait de mille feu d’étoiles chaleureuses.

A vous de choisir quel chemin prendre. Vous pouvez prendre le temps de vous concerter avant. Une fois que vous aurez pénétré dans un couloir, le Maitre de Jeu interviendra.

- Évitez les réponses trop longues. 600 mots maximum par post devraient suffire. Privilégiez l'action aux descriptions sans fin.
- De même, essayez de répondre assez vite. C'est un sujet qui est fait pour avancer, il peut apporter des changements dans les évolutions de vos personnages, n'hésitez pas à le passer en priorité quand c'est votre tour.
- Le premier tour établira l'ordre de passage. Pour la suite, n'oubliez pas de prévenir la personne après vous pour lui dire que c'est son tour.
- Si besoin vous pouvez jouer les dés. Vous les retrouverez dans ce sujet.

Bon jeu ♥ !

**G. Thalia Cavendish**

L’amnésique recommença à perdre la mémoire, me rendant ma torche quasiment aussi rapidement que ce que je lui avais donné. Laissant échapper un soupire j’allais lui expliquer ce que nous faisions là quand elle disparu me coupant le sifflet et nous laissant sans le moindre état d’âme. Me retournant vers la princesse, je soupirais à nouveau en demandant à la blonde :

« Et vous vouliez la suivre pour aller à Wonderland ? Je ne suis pas sûr que vous teniez réellement à votre vie princesse, … Bien je me débrouillerais pour vous trouver un passage jusqu’à votre homme, mais avant nous devons suivre cette piste. »

Concluais-je tout en reluquant Annubis, son regard perçant me donnant l’impression qu’il voulait me dire quelques chose, pendant que la princesse du royaume blanc de wonderland me parlait des défaillances de son instinct, je me retournais vers les fresques qui ornaient les murs de la crypte. M’avançant sans pour autant attendre son avis sur le chemin à suivre, cette gamine était loin d’être stupide, elle avait peut-être aucun instinct maternel mais elle avait quand même couru derrière son gosse sans réfléchir. Toujours en train de reluquer le mur, mes doigts passant sur les hiéroglyphes que j’arrivais à lire pour une raison que j’ignorais je cessais de lire pour y répondre :

« Vous n’êtes pas dénudée d’instinct maternel princesse, vous avez couru derrière la voleuse de votre bébé, j’aurais fait la même chose avec mon fils. Élever un enfant dans ce monde n’est pas aisé et croyait-moi je ne suis pas non plus la mère de l’année, mais on fait comme on peut. Il s’appelle comment votre fils ? »

Recommençant ma lecture, je laissais mes doigts se poser sur le récit qui était décris. La vie après la mort, le passage dans le monde d’Osiris. Les épreuves qu’il fallait passer pour arriver à son but et notamment celle de la pesée des cœurs. Le nom de la Maat se présentant à moi, j’entendais à nouveau la voix de l’homme qui m’avait rendu mes mains. Il m’avait rendu mes mains. Projetant ma torche vers l’obscurité :

« Comprenez-vous les hiéroglyphes sur ses murs Alice ? Savez-vous qui est Maat ? Entendez-vous cette voix »

Demandais-je, sans le moindre détour, j’avançais vers cet appel silencieux bien qu’assourdissant, ne comprenant pas comment je pouvais lire cette langue qui m’étais pourtant si lointaine et incompréhensible pour le commun des touristes. Je parlais l’égyptien. Je lisais sa langue, où avais-je appris tous cela ?

acidbrain

La lumière disparut et les - maintenant - deux jeunes femmes et la demi-portion bonus s’avançaient dans l’inconnu, la blonde toujours persuadée qu’elle aurait dû faire revenir Vael en faisant mourir sa chèvre ou Marcel pour le sacrifice. Dans l’obscurité, Alice fit silencieusement ses adieux au seul moyen extraordinaire qu’elle avait pour l’instant trouvé pour rejoindre l’autre bouclé de touriste débile. Thalia avait raison. De toute façon, c’était comme le Lièvre de Mars : un moyen de transport trop peu fiable pour qu’on l’emprunte. La brune lui promit de lui trouver une alternative. Alice essaya de se persuader qu’elle ne terminerait pas sa triste existence dans une espèce de tombe immense.

Elle se confia sur les couacs de son instinct, histoire de dissuader sa coéquipière de s’engager dans un chemin pour les suicidaires. Il y avait du vrai dans ce qu’elle disait. Elle n’avait pas les trucs pour être une mère. Thalia avait l’air de s’être adoucie, et il sembla à Alice que pour la première fois depuis qu’elle l’avait rencontrée, elle s’intéressait à elle - et à son bébé. « Vous allez rire ! » C’était ce qu’elle sortait chaque fois qu’elle avait à présenter son enfant à quelqu’un. Et en général, ça choquait plus que ça ne faisait rire. On savait de quoi était capable la blonde pour savoir qu’elle ne plaisantait pas avec les prénoms qu’elle donnait à un gamin dont elle n’avait jamais voulu. Elle se retint de lui dire que si elle avait courut après la voleuse, c’était uniquement pour récupérer sa monnaie d’échange afin de récupérer ensuite le père de celle-ci. « Lui, c’est Apollo-Jules Marcel O’Liddell Moreau. Mais je l’appelle SIDA. Parce que personne n’en veut, et que je l’ai attrapé contre ma volonté. Mais j’ai pas le SIDA, hein, c’est juste pour l’image. » Pour le reste du discours de Thalia, Alice ne fit pas de commentaire. « Oh, et le vôtre, il s’appelle comment ? Et il est où ? Vous aussi vous cherchez le père ? » Décidément, elle ne savait pas à quel point la coureuse de lapin pouvait être une mauvaise mère. Genre, celle de Max dans 2 Broke Girls. Mais elle ne saisirait peut-être pas la référence. Alice sourit, l’espace d’un instant elle tenta de faire bonne figure alors qu’elle se dirigeait vers sa mort. Au moins, elle ne hurlait pas. Et elle ne s’était pas encore fait dessus. Elle s’arrêta net quand Thalia se remit à poser des questions.

« Ah il fallait lire des trucs sur les murs ? » Mais les formes qu’elle réussissait à peine à déchiffrer grâce à la lueur de la torche ne lui évoquaient rien. Elle arrivait parfois à deviner ce que représentait un dessin ou un autre, mais rien qui ne donnait du sens. « Maths ? J’ai quelques notions sur la meth’ mais maths, à part quelques tablettes de multiplication, j’y connais pas grand-chose… Pourquoi ? » Elle continua d’avancer, laissant Thalia se perdre sur les jolis dessins sur les murs. Un nouveau choix devait être fait. Soit le saphir, soit l’or. Alice trouvait que les pierres bleues étaient plus jolies - et devaient sûrement valoir plus cher. Elle vint récupérer Thalia, toujours perdue sur des trucs qu’elle tentait de comprendre, et l’entraîna avec elle dans le couloir aux pierres bleues. « Si tu entends des voix, c’est mauvais signe. Un jour, je te raconterais l’histoire de Jeanne d’Arc. Je te préviens, c’est pas du joli. »

Admin **Heartless**

Mission IV.

Thalia Cavendish & Alice R. O'Liddell.

Avis de recherche :

un petit frisé et une mémoire... non, deux !

Les deux femmes avaient alors traversé le couloir qui racontait toute l’histoire et le rituel du jugement avant la mort, en hommage au dieu de cette contrée. L’une lisait alors que l’autre se demandait encore pourquoi elle était là. Elles discutèrent, leur voix se répercutant tout le long de cet interminable couloir de pierre. Il n’y avait rien d’autre, rien de dangereux si ce n’est des bouts de tombeau qui parsemaient le sol ici et là, parfois petit, parfois énorme, obligeant les femmes à se faufiler contre la roche. Un gros moment de stress pour le tout petit enfant qui s’était mis à hurler et ses cris résonnaient comme si une momie égorgeait un chat au fond de ce tombeau.

Il y eut alors un deuxième couloir et leur choix se porta sur la porte qui se parait de saphir et d’émeraude. La blonde avait un très mauvais instinct. Pareil, rien au début. Des fresques en hommage à la personne enterrée ici. Un grand pharaon. Et après quelques mètres, on entendit comme de la pluie. Non ce n’était pas exactement ça. Plein de tout petit « tic tic tic tic … ». Lorsque Thalia brandit son flambeau, elle put voir alors un essaim de scarabée qui recouvrait le sol et chaque partie de mur du couloir. Ils arrivèrent vers elle. Des insectes anthropophages. Il fallait fuir et vite avant qu’ils ne les cernes tous !

Les deux jeunes-femmes durent alors rebrousser chemin. Il n’y avait plus de voix, plus de force qui les appelait. Juste la raison les animait et leur disait qu’elles perdraient bien trop de temps et surtout d’effort à vouloir se débarrasser de ces scarabées. Une fois dehors, elles furent tranquilles et entières. Subitement, un trou se forma dans le sable. C’était un terrier et le Lièvre de Mars en sortit. Il fit un rictus narquois à Alice, faussement coupable. « Il est revenu le français bouclé. Allez viens… » dit-il à la blonde et lui tendit la main. Elle la lui prit et essayait de le tuer de son regard, mais en vain. Il fit mine de baisser un chapeau qu’il n’avait pas à Thalia pour la saluer et la quitta avec un clin d’oeil, emportant Alice avec lui dans son passage magique.

Thalia n’avait plus qu’à reprendre le cour de ses missions et Alice retrouva son mari à Storybrooke. Et au fond de ce tombeau, en passant par d’autre chemin, il y avait un artefact magique. Un objet encore bien emprunt d’un pouvoir puissant et ancien. Quelque chose qui avait appartenu à Beldam...

Bon comme vous l’avez deviné, vous n’avez pas réussi la mission, mais ce n’est que partie remise !
Merci beaucoup pour votre participation !
En espérant de tout coeur que cela vous ait plu ;)

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